Dans notre précédent texte, nous avons présenté rapidement la première pièce de Chesterton, Magic, écrite et jouée pour la première en 1913. Comme nous le soulignons, elle fut jouée à Londres ainsi qu’à New York. Or, cette pièce a également connu une...
Lire la suiteMagic ? Vous avez dit Magic ! Après Le siècle de Victoria en littérature (ici et là), il nous faut présenter maintenant cette œuvre peu connue de G.K. Chesterton. De quoi s’agit-il exactement ? De la première pièce de théâtre d’un auteur jusqu’ici connu...
Lire la suiteComme l’indique le titre de son premier chapitre, Chesterton établit que l’ère victorienne se signale par un compromis. Selon l’auteur, en effet, la littérature du XVIIIe siècle en Angleterre est profondément révolutionnaire au contraire de la politique...
Lire la suiteAprès une assez longue interruption due à la préparation de la Table-ronde du 15 octobre dernier, nous reprenons notre exploration rapide et chronologique des œuvres de Chesterton. En 1913, un livre d’un genre un peu particulier paraît : The Victorian...
Lire la suiteCi-dessus couverture de la première édition de Supervivant dans son édition française. Et ci-dessous la publicité pour le livre : Le recto … et le verso.
Lire la suiteQuand il paraît en 1938, Supervivant (Manalive) est présenté dans les rubriques littérature de la presse francophone. À titre d’exemple, et pour sortir de nos limites nationales, nous publions ci-dessous la notule consacrée à ce roman de Chesterton et...
Lire la suiteSelon Max Ribstein, que l’on ne saurait trop consulter en ce qui concerne l’œuvre romanesque de Chesterton (cf. Création romanesque et imagination , Max Ribstein, éditions Klincksieck), Manalive aurait été rédigé en 1911, année pendant laquelle Chesterton...
Lire la suiteSi nous continuons notre petit voyage en « chestertonie », nous arrivons pour l’année 1912 à la publication d’un nouveau roman de Chesterton : Manalive. Il est publié pour la première fois en février 1912 en Angleterre chez « Thomas Nelson and Sons »...
Lire la suiteNous avons commencé dernièrement la publication presque intégrale d’un article de François Le Gris, publié en février 1920 dans La Revue hebdomadaire, et consacré à la traduction en langue française et à sa parution, de The Innocence of Father Brown,...
Lire la suiteNous continuons à présenter en suivant l’ordre de publication des éditions anglaises les ouvrages de Chesterton. En 1911, outre T he Ballad of the White Horse et Appreciations and Criticisms of the Works of Charles Dickens dont nous avons déjà parlés,...
Lire la suite