Sur le site Fabula, la recherche en littérature, Laurent Folliot consacre un long article à la publication dans une édition bilingue de L’Anneau et le livre de Robert Browning aux éditions Le Bruit du temps. Dans cet article, Laurent Folliot fait directement...
Depuis des années nous attendons et nous espérons qu’un éditeur ose éditer, ou plus exactement rééditer, Hérétiques et Orthodoxie de Chesterton, aujourd’hui quasiment introuvables. Depuis des années, nous rêvons que ces deux ouvrages qui se répondent...
Magic ? Vous avez dit Magic ! Après Le siècle de Victoria en littérature (ici et là), il nous faut présenter maintenant cette œuvre peu connue de G.K. Chesterton. De quoi s’agit-il exactement ? De la première pièce de théâtre d’un auteur jusqu’ici connu...
Dans notre précédent texte, nous avons présenté rapidement la première pièce de Chesterton, Magic, écrite et jouée pour la première en 1913. Comme nous le soulignons, elle fut jouée à Londres ainsi qu’à New York. Or, cette pièce a également connu une...
Ceux qui s’intéressent à la littérature anglaise iront jeter un coup d’œil au hors-série du Point qui vient de paraître. Intitulé Les grands textes de l’esprit anglais, c’est une riche présentation sur plus de cent pages de la variété et de la richesse...
Dans un récent numéro, L’Homme Nouveau (21 novembre 2009, n° 1457) a publié un article de Brian Sudlow, maitre-assistant à l’Université de Reading en Grande-Bretagne. Brian Sudlow était l’un des principaux intervenants de la Table-Ronde sur le renouveau...
En 1914, Chesterton publie chez Cassel and Company, The Barbarism of Berlin , qui est l'une de ses participations à l’effort de guerre. Le livre est composé de quatre chapitres et contient approximativement 13211 mots et 95 pages. Il est publié en novembre...
Nous avons déjà évoqué ici la participation de Chesterton à un western. Grâce au site Il était une fois le cinéma , nous découvrons que Chesterton fut l’une des sources d’inspiration pour le film de Michael Powel, A Canterbury Tales (1944). Certes l’histoire...
Cette splendide monographie consacrée au poète anglais Robert Browning et écrite par Chesterton en 1903 – il avait 29 ans – vient d’être rééditée, avec une nouvelle traduction, par les éditions Le Bruit du temps. Cette édition est une parfaite réussite...
De son vrai nom, Jean Blum, Jean Florence (photo) est l'un des premiers traducteurs de Chesterton en France. Ce disciple de Bergson fut porté disparu le 6 juin 1915, lors des combats de la Première Guerre mondiale. En 1924, Jean Royère, fondateur de la...
L’Association des Amis de Chesterton, le blogue Un Nommé Chesterton vous souhaitent un saint et joyeux Noël. « Au beau milieu de ce brouhaha de fables et de doctrines, une nouvelle prodigieuse se fait entendre qui ne leur ressemble en rien. Exceptionnelle...
Dès le dimanche 3 janvier, l’année a commencé par la publication d’un article consacré à Chesterton. Dans le numéro de l’hebdomadaire Les 4 vérités, Pierre Vautrin présente « Deux livres pour découvrir l’univers de G.K. Chesterton », selon le titre donné...
Après avoir présenté la parution anglaise de La Barbarie de Berlin (ICI), un mot sur l’édition française. Le livre paraît en 1915 aux éditions de La Nouvelle Revue française, dans une traduction d’Isabelle Rivière. C’est un petit volume de 148 pages....
Nous republions ici la Lettre d'information n° 13 envoyée aux inscrits à notre lettre de diffusion, en raison d'un « bug » qui s'est passé. En effet, les abonnés ont visiblement reçu une Lettre tronquée, dans laquelle n'apparaît qu'une partie du message...
Nous avons évoqué hier (ici) la parution, sous forme de brochure, dans un tirage limité à 550 exemplaires, d'une édition anglaise mais en langue française, de La Barbarie de Berlin de Chesterton. Grâce à Aidan Mackey, chestertonien universellement connu,...
Un très sympathique blogue, Café Royal, consacre toute une notice de présentation à Chesterton et termine sa présentation sur ces mots : « un homme et une pensée à découvrir ou à redécouvrir. » Nous en sommes bien d’accords et nous remercions le signataire...
Le dernier numéro de La Nef publie une recension de Philippe Maxence consacrée au Robert Browning de Chesterton, récemment édité par les éditions Le Bruit du temps (voir ICI). On peut trouver toutes les informations nécessaires sur La Nef , en allant...
Le 8 janvier dernier, The Catholic Herald (ici) a rendu un vibrant hommage à l’un des plus grands chestertoniens de la planète : Aidan Mackey. On peut lire sur le site du journal anglais le portrait de cet homme qui n’a cessé depuis la fin de la Seconde...
Le dernier numéro de Gilbert Magazine vient de paraître. Ce journal, édité par l’American Chesterton Society, est à chaque numéro une véritable réussite et mérite d’être connu au-delà des frontières américaines. Conçu comme un magazine avec ses rubriques...
Sur l’excellent site Causeur d’Élisabeth Lévy (ICI), Basile de Koch, qu’il est inutile de présenter, consacre un article enflammé à Chesterton, en abordant ce continent par le biais de l’hypothétique canonisation de l’écrivain. Comme d’habitude, c’est...
Le dernier numéro de la Chesterton Review, publication éditée par le Chesterton Institute , vient de paraître. Ce numéro double ( 3 & 4, Fall/Winter 2009) est, comme d’habitude, très riche et comporte pas moins de 440 pages. On y trouvera notamment des...
Un nouveau livre signé de Chesterton vient de sortir : A bâtons rompus. Édité par les éditions de l’Age d’Homme, il forme le numéro deux de la toute nouvelle collection « Revizor ». But de cette collection : « corriger la platitude de la lecture contemporaine...
En 1914, G.K. Chesterton publie un nouveau roman, The Flying inn (L’Auberge volante), dont l’action se situe en Angleterre et qui oppose une résistance à l’envahisseur islamique qui occupe l’Angleterre. Cette résistance prend la forme de la défense des...
Lors de sa parution en 1914, en Angleterre, The Flying Inn (L’Auberge volante) est lu par un critique littéraire de renom et un bon connaisseur de Chesterton : Valery Larbaud (voir ICI, LÀ, LÀ et LÀ). Au titre de la rubrique « Lettres anglaises », il...
The Flying Inn a été traduit et publié la première fois en langue française en 1931 chez Gallimard. Ne possédant pas cette traduction, nous sommes dans l’impossibilité d’indiquer le nom du traducteur [si un lecteur mieux renseigné pouvait corriger ce...